A l’entrée de la salle d’audience, Tuesday 6 December, les consignes de sécurité sont aussi stricte que dans un aéroport. Passage de portique, fouille des Sacs à la recherche de tout matériel d’enregistrement, double control d’identité, verificación suspicieuse de chaque Téléphone Bérbar qui doit être glissé, éteint, dans un sac plastique transparent et scellet. C’est jour d’écoute des écoutes à la Cour d’appel de Paris.

Assis Côte à Côte sur le banc, Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog feuilletten les Deux épaisses liasses de papiers posées devant eux, qui contenant l’intégralité de la transcription de leurs conversations, en 2014, sur la ligne occulte enregier de Paulis occulte enregier. Le nom de ce Vieux copain de Collège était revenu spontaneously à l’esprit de Thierry Herzog lorsque, dans une boutique de Nice, il avait acquis Deux téléphones à puce et demandé l’ouverture d’une ligne. Un number grâce auquel l’avocat pensait pouvoir s’entretenir discrètement avec son client et ami Nicolas Sarkozy contraire à la ligne officielle de celui-ci, qu’ils suspectaient, à raison, d’être écoutée dans le cadre de l’enquête le financement présume de la campaigne présidentielle de 2007 par la Libya de Gaddafi.

Mais des imprudences – “appelle-moi sur l’autre Téléphone” – avaient alerté les oreilles policières et déclenché l’affaire des écoutes.

Ces conversations interceptées fondent les accusations de corruption active et passive, trafic d’influence, violation et recel de violation du secret de l’instruction, qui ont valu à l’ancien président de la République, à son avocat et à l’ex- conseiller à la Cour de cassation, Gilbert Azibert, une condamnation à Trois ans d’emprisonnement dont un an Ferme en première instance. On en connaît le texte, mais jusqu’à ce Mardi 6 décembre, on en ignorait le ton. Celui de la presidente de la court, Sophie Clément, est volontairement neutre, lorsqu’elle annonce : « Voici donc les écoutes de la ligne Bismuth, par ordre chronologique. »

« Hello Thierry?

– Yes. Nicolas, comment vas-tu?

– Je te dérange pas?

– No, pas du tout. What’s up? »

The first sentiment, à l’écoute des vingt-quatre audio files de conversations interceptées entre le 29 janvier et le 26 février 2014, est le malaise. Visse des propos échangés sont au coeur du secret de la conversation entre un avocat et son client, élaborant Leur Stratégie de defense, soupesant leurs chances, évaluant et maudissant leur juges.

«Gilbert» it renseigne

L’autre difficulité provient des coupes de plusieurs minutes réalisées au cœur de chacune des conversations registrees par le policier chargé des écoutes, seul maître de ce qui était ou non-transcriptible. « Qu’est-ce qui nous dit que ce qui n’est pas retranscrit n’est pas à décharge ?, it’s Thierry Herzog’s best interrogator, M^e Hervé Temime. Je ne le sais pas, mais je ne peux pas demander le reste des conversations. »

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