Patrice Brossy was a pleine dérive depuis le Printemps dernier, enchainant les menaces et les violences armées à La Rochelle visant sa proprietaire, un concessionnaire Mercedes, une caissière or encore la bâtonnière de son order. Il avait alors exhibé masse, machete, pistolet d’alarme ou arbalète, Joué de la bombe au poivre et imaginé une mise en scène, escorté de Deux costauds. “Mon appel se limite à la peine, j’estime qu’on n’a pas enoughe pris en compte mes Intentions”, raconte-t-il ce lundi 31 octobre devant la Cour d’appel de Poitiers.

Le 22 juillet dernier, la justice poitevine, où le dossier avait été dépaysé, avait condamné le quinquagénaire en comparution immediate à huit mois de Prison Ferme avec un maintien en detention. Plus de Trois mois sont passé et l’avocat jugée considre que ses Intentions ont parfois été «mal intrepretes». Il avait alors des problèmes psychiatriques and suivait un treatmentment.

« Il a augmente ma bipolarité au lieu de la réguler, explique-t-il. I am senti agressé, j’ai mal reagi! J’ai déjà perdu mon travail, je sais que je vais être radié et je vais devoir retourner Chez mes parents. » Les avocats des parties civiles ont peu goûté cette audience où le prévenu reconnainet les faits… Jusqu’à ce que son attitude et ses déclarations finissent par dire le contraire, selon Mes Breillat et Ahouanmenou.

«Your stroke aux victims! »

L’avocat général Frédéric Clot enfonce le clou encore plus fort. « Your declarations are a stroke aux victims! Pas tellement grave ce que vous avez fait dîtes-vous? Si, ça l’est, en dehors de toute proportion raisonnable. Vos propos dénotent d’une Total mediocrity and incompetence. »I a requis la confirmation du premier jugement et le maintien en détention.

« Pourquoi cet appeal? Ce n’était pas mon conseil », déplore en préambule Me Laurent Sillard. « Le coup, sures de ses frères le sentaient venir. Il n’allait pas bien. His discernment was altered lors des faits. Maintenant, il va beaucoup mieux, et sa place, elle n’est plus en prison. »La Cour d’appel de Poitiers s’est laissez le temps de la réflexion jusqu’au 23 novembre prochain. An attendant, l’avocat qui voudrait sortir pour continuer à se soigner, mais au center hospitalier Laborit, est reparti en détention.