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“Confronté à la violence, l’avocat doit garder ses distances”

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“Confronté à la violence, l’avocat doit garder ses distances”

“La question n’est pas de savoir si même une femme peut être pénaliste, mais d’avoir conscience que tous les hommes ne le peuvent pas!”, assesses Clarisse Serre. Francois BOUCHON/François Bouchon / Le Figaro

GRAND ENTRANCE – En s’installant in Seine-Saint-Denis, la pénaliste a choisi de s’exposer aux réalités parfois brutales de la Justice.

Clarisse Serre est une avocate pénaliste qui, il ya neuf ans, a décidé d’installer son cabinet à Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Dance La Lionne du barreau (Éditions Sonatine, 192 pages, €20), elle raconte son parcours et le sens de son engagement.

LE FIGARO. – Pourquoi vous êtes-vous installate à Bobigny?

Me Clarisse SERRE. – Pourquoi pas? This was a real challenge for me. I wanted to exercise my metier autrement. Je vis à Paris mais j’exerce dans le 93. Mes clients viennent plus facilement, le Tribunal est à taille humaine.

C’est aussi un Département très marque par la delinquance. Cela vous éloigne-t-il d’une suree clientele?

It is true that Seine-Saint-Denis is a territoire particulier. À mes débuts, c’est un de mes clients qui a fait ma pub, in prison. Avec le bouche-à-oreille, j’ai eu de plus en plus de travail. Je n’ai aucun réseau, je viens du Cantal. Un avocat ne se fait connaître qu’à Travers ses résultats. Pour revenir à la deuxième partie de votre question, il est…

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