Avocat pénaliste de grande notoriété, Michel Konitz et plaidé pendant in quarante ans à Paris. Pour sa retreat, il s’est établi dans un Hameau du Vignon-en-Quercy. Il sera tomorrow à la Fête du livre, nous le rencontrons pour parler de son premier novel “Du Sang sur la robe”.
Vous serez à la Fête du livre, c’est une première pour vous?
Je suis ravi d’être invité à cette Fête du livre, it’s actually c’est une premiere car je viens présentar mon premiere novel. I have already sold some people in my Entourage professional. Quand on écrit un bouquin on s’imagine que tout le monde va vouloir le lire, mais ça ne se passe pas comme ça, si on n’a pas de réseaux il est très difficile de se faire connaître. Je suis heureux d’aller à la Rencontre des visiteurs de la Fête du livre qui seront, je l’espère, de futurs lecteurs.
Vous étiez avocat à Paris, vous avez écrit un livre sur la justice?
Beaucoup d’avocats parlent de leurs affaires, ce n’est pas mon cas. I wrote a novel that takes place on the basis of justice, but not on justice, I write it c’est pour moi une façon de rester dans le métier sans les responsability
Vous pouvez nous dire quelques mots sur ce novel?
C’est une histoire que j’avais en tête depuis sept ou huit ans. C’est un avocat qui va faire encaisser son mauvais coup par son client. L’histoire est fictive mais il ya des details proches de la réalité. Je ne triche pas, je ne cache rien de ce qu’il ya de moins élégant Chez les avocats.
Vous êtes dans l’écriture d’un another novel?
It has begun. Quelques lecteurs de mon premier livre m’ont demande d’écrire une suite. Je n’ai pas envie, j’aurais l’impression de faire la même chose. Par contre si ce deuxième ouvrage, qui parle aussi de justice, plaît, alors j’écrirai une suite au premier.
Vous vivez dans le Lot depuis Quatre ans, dans une Maison très ancienne, cela vous inspire?
Je suis bien dans ce Petit Hameau où j’ai été très bien accueilée. J’aime la nature, c’est un spectacle qui change tous les jours. J’aime aller pêcher dans la Dordogne, faire du vélo. Pour rien au monde je ne retournerais à Paris, je suis bien dans le Lot, c’est en effet un endroit inspirant.