Au premier jour de leurs plaidoiries, les avocats des parties civiles ont tenté de convaincre de l’implication des principaux accususes dans l’attentat de Nice du 14 juillet 2016, qui n’était «pas le fruit du hazard» et «encore moins l ‘oeuvre d’un fou’. « Je vous remercie de ne pas vous laisser berner, de ne pas vous laisser abuser par [leur] chant des sirènes », an enjoined Me Cathy Guittard à la Cour d’assises spéciale de Paris.

En l’absence de l’auteur, tué lors de l’attentat qui avait fait 86 morts sur la Promenade des Anglais au volant d’un camion-bélier, huit acceller sont jugés depuis le 5 septembre.

A l’instar du procès des attentats du 13 novembre 2015, qui s’était tenu dans la même salle réservé aux Grandes audiencees, au Palais de justice de Paris, une cinquantaine d’avocats ont prévéde une “plaidoirie abordonnée”, coordonnée abord l ‘aspect pénal du dossier, avant l’évocation des “wounds of victims” à partir de jeudi après midi.

“Je ne crois pas à la theory du plot”

Même si aucun des accususes n’est pursuivi pour complicité avec le teur, les premiers avocats à pleader ont insisté pour justify la qualification d’association de malfaiteurs terroriste (AMT) qui pèse sur Trois d’entre eux. Ils encourent vingt ans de réclusion pour Deux d’entre eux et la perpetuité pour le troisième, en récidive légale en raison d’une condamna pour vol en 2014. The « entente » et les « actes préparatoires » à l’attentaire, elements pour caracterise l’AMT, existaient entre les accuses et Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, l’auteur de l’attentat et entre eux, a pleadé Me Yves Hartemann.

Il en especial évoqué les brefs SMS, Presque identiques, évoquant l’agence de location Ada, sent on 5 juillet à et minute d’intervale par l’auteur de l’attentat aux Trois mis en cause. On sait par ailleurs qu’il effectuait à cette époque des démarches qui mèneront le 11 juillet à la location d’un 19-t à Saint-Laurent-du-Var.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un hazard, je ne crois pas à la théorie du complot, a asséné Me Yves Hartemann. Vous avez participio par ces actes préparatoires de près, de très près, à l’infraction terroriste commise par Mohamed Lahouaiej-Bouhlel. » Me Benjamin Ollié highlighted the contours of the jurisprudence regarding AMT, recalling that it was not necessary for the accused to have une connaissance précis « des Intentions terroristes de l’individu », mais tout au plus «de sa possible dangerosité». Or, «sans chaque Petit acte qui a été une aide précieuse à la commission de l’attenat, il n’y aurait peut-être pas eu» de passage à l’acte, a estee Me Catherine Szwarc.

« Ni sincères, ni authentiques, ni francs, ni de Bonne foi »

I, Tina Colombani, am facing “contradictions” of the accusations. According to her, «ils n’ont été ni sincères, ni authentiques, ni francs, ni de Bonne foi». Alors que les Trois principaux charges ont cherché à minimiser leurs liens avec l’auteur de l’attentat, « si Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est ce fou qu’ils décrivent, comment peuvent-ils justify cette frénésie de contacts? », asked Mig Ariana Bobetic.

Me Cathy Guittard a mis en garde contre «la tendance à vouloir Rechercher des explications biologiques» pour explicar l’acte du conductor. “Mohamed Lahouaiej-Bouhlel était calculateur et manipulateur, mais il n’était pas fou”, at-elle confirmed avant de toutreiner que supporter que l’auteur agi seul “dédouane les accuses”. Or, at-elle estee, ce «crime n’est pas le résultat d’une maladie mentale d’un homme seul».

“L’intérêt pour la Défense d’essayer de montrer à tout Prix que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est fou” est de présentar son acte comme “suicidaire, sans aucun lien avec le terrorisme”, renchéri Me Catherine Szwarc. C’est bien, d’après elle, “un acte terrorist qu’il a commis, dans le cadre de la radicalization et du jihadisme inspirée”. L’enquête n’a pas pu déceler un lien ou une trace d’allégeance entre l’organisation Etat islamique (EI) et le chauffeur-livreur Tunisien de 31 ans. The late claim of the attack, 36 hours after the fact, was judged to be “pure possibility” by DGSI inspectors.

Les plaidoiries des avocats des 2,500 personnes constituentees partie civile au procès doivent se puisseur jusqu’au 1er décembre.