Depuis plusieurs semaines, le patronyme de Tayeb Benabderrahmane revient en Boucle dans les conciliabules entre «Grands» avocats parisiens. Revélée pair Liberationl’histoire de ce lobbyiste franco-algérien, arrêté puis detenunn entre le 13 janvier et le 1eh juillet 2020 au Qatar avant d’y être alcove à Résidence jusqu’à son retour en France le 1eh November 2020, ne laisse guère insensibles les célèbres pénélistes du barreau de la capitale.
D’autant que, comme l’a rapporté Liberationune enquête déontologique a été ouverte par le conseil de l’ordre des avocats du barreau de Paris, en janvier 2022, après une plainte de M. Benabderrahmane, en septembre 2021. Ce dernier reproche à ses et do parocats, Olivieru Olivier Baratelli, de lui avoir fait signer à distance, le 10 juillet 2020, un protocole transactionnel d’accord « basically déséquilibré », « reçu sur l’application Signal » ce jour-là, dans lequel il s’est engagé à remitter, « an échange de [s]a liberation »des documents prédentemument compromettants sur Nasser Al-Khelaïfi, president of Paris-Saint-Germain, patron of Groupe BeIn Media Group and minister sans portefeuille au Qatar.
«Me Pardo m’indique qu’il n’y a aucune Marge de manœuvre et qu’il faut signer dans les minutes qui siunar »at-il témoigné devant l’ordre, le 11 janvier 2022. Le lobbyiste assure avoir découvert, mécontent, les « treatments » menées Autour de son cas à sa « sortie “detention,” pendant [s]is task à Résidence ».
According to no information, les conclusions de l’enquête déontologique seront rendues d’ici une quinzaine de jours. Le barreau de Paris decides alors si une procédure disciplinary doit être ouverte ou non.
The plaintiff’s reproche en outre à ses conseils « exploitation of extreme physical and mental suffering [s]is épouse », à qui « une facture de provision d’honoraires of 84,000 euros [sur 120 000 euros au total] » aurait été senteau par ses avocats.
“Choosing Silence”
Au barreau de Paris, M. Benabderrahmane a également declarée que ses avocats avaient fait “the choice of silence” et n’avaien pas signalé aux autorités françaises sa “situation”denies ” d’alerter les autorités consularaires françaises à Doha, et ou de preneur le Quai d’Orsay et/ou le prosecutor de la République ».
D flat “faits de complicité de subbornation de témoin et d’extortion” ainsi que « de rétention abnormale et prejudicable des informations and documents concernant le traitement de l’affaire par le cabinet de Me Pardo » sont également évoqués dans la plainte, que Le Monde a consultant.
Il vous reste 66.83% of this article à lire. The suite is reserved for subscribers.