Dans le thriller psychology Villa Caprice, de Bernard Stora, diffused ce soir pour la première fois sur Canal+, Patrick Bruel (que nous avions interviewé pour l’occasion) incarne Gilles Fontaine, un très Riche homme d’affaires Visé par une enquête judiciaire, pour avoir mis la main sur une somptueuse propriété sur la Côte d’Azur en achetant un homme politique. Il a été denóncé par la femme d’un minister, révélant un system de pots-de-vin avec comptes occultes à Singapour. To organize his defence, Gilles Fontaine appealed to a famous tenor from the bar, Maître Luc Germon, campé par Niels Arestrup. Un homme solitaire entième voué à sa career, respecté et Redouté par ses pairs. Entre les Deux hommes aux égo surdimensionnés s’installation une étrange relation de pouvoir, un bras de fer psychologique où chacun tente de manipulater l’autre.

Le mystère Olivier Metzner

The idea for this scenario was born from her co-writer, journalist and novelist Pascale Robert-Diardqui est chroniqueuse judiciaire au Monde depuis 2002. En Mars 2013, le suicide, à 63 ans, de Maitre Olivier Metzner, un tenor du barreau très en vue sur la place de Paris et courtisé par les médias, l’avait particulier markue. L’homme était monté lone sur son Bateau et s’était jeté à l’eau au large de l’île de Boëdic, qu’il avait achetée dans le Golfe du Morbihan. Il avait laissez une lettre dans laquelle il indiquait ses dernières volontés. We Olivier Metzner était alors au faîte de sa gloire, représentait la réussite la plus éclatante. L’avocat était à la manœuvre sur les plus retentissantes de l’époque: ses clients sappelaient Dominique de Villepin (pour l’affaire Clearstream), Bertrand Cantat, Jerome Kerviel, Françoise Meyers-Bettencourt, Loïc Le Floch-Prigent, Jacques Crozemarie, Florent Pagny, l’ancien dictator Manuel Noriega… Son carnet d’adresses comptait Bon nombre de patrons du CAC 40. Ses honoraires se chiffraient en millions d’euros . Dans sa lettre, Olivier Metzner n’avait pas Fourni d’explication sur son geste. Son suicide afait price tout le monde de court.

Librement inspired

Director Bernard Stora explains his démarche d’éloignement par relation to the original story: “Comments un homme au faîte de sa carrière, rich, influential, en venait, sans que rien ne le laisse prévoir, à mettre fin à ses jours? Il y avait là matière à un film : elle (Pascale Robert-Diard, ed. note) ) m’en a parlé, ainsi qu’à Jean-Pierre Guérin, my producer, qui a tout de suite été étée par le projet. un regard très fin et aguisé sur le monde actuel, et une sorte de malaise personnel à treater d ‘un sujet trop proche de la réalité. Timidité ou pudeur – je n’aime pas m’immiscer dans la vie des gens, je me sens constraint, je préfère l’imaginer. Je ne me voyais pas du tout enquêter sur Olivier Metzner, I document, ask ses proches etc. Nous nous sommes donc attachés, Pascale et moi – rejoints un peu plus tard par Sonia Moyersoen – à inventer une histoire et des personnages entième originalaux.”

A film to discover on Canal+