Kevin Dailly, avocat au barreau de Nantes, en reçu un courrier de la bâtonnière lui réclamant des explications après sa letter entitle «Les Nantais de souche ne vous laisseront pas destructuri Leur fief».
Le Figaro Nantes
The affair made a big noise at the Palais. On 4 novembre dernier, Kevin Dailly, avocat au barreau de Nantes, publice sur le site internet de Valeurs Actuelles une lettre ouverte addressed to Maire Johanna Rolland with the title « Les Nantais de souche ne vous laisseront pas détruire Leur Fief ». Il y décrit l’insécurité et les incidents à répétition dont il est témoin depuis son retour dans sa ville Natale il ya Deux ans.
Quelques jours plus tard, il receipt un courrier dans sa boîte aux lettres. «Object: Invitation», peut-on lire sur le document consulté par Le Figaro. A Corpus de texts: «Je reviens vers vous suite à la lettre ouverte à Johanna Rolland, publicée sur Valuers Actuelles le 4 novembre dernier. Au vu de ces éléments, you must meet on Mardi November 15.»
“Des propos trop rudes”
L’avocat en droit des affaires s’y rend. Là, « la bâtonnière me dit que je suis convoqué à la demande de certains avocats. Elle me parle de propos trop rudes qui ont fait reactir», raconte au Figaro l’interested. Contactee, Maître Christine Julienne réfute le Terme de Convocation : « Je l’ai invité à venir pour recuellir ses observations et comprendre ce qui l’avait amené à Publier cette lettre.» Elle pursued : « Le bâtonnier is the guardian of deontology. On m’informe d’une lettre ouverte écrite par un avocat qui se revendique du barreau de Nantes. Il fait reférence à une procédure en Cours et à une avocate qui défend une partie civile. Mon rôle est de l’inviter à s’explicer.»
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Kevin Daily Current values dans un paragraph introductif. «Quand j’évoque la justice et le laxisme, c’est avec des Termes citoyens», assure-t-il. Lorscur’il écrit que «même l’avocat de la femme violée par Trois soudanaisa pris soin de rabâcher qu’il ne fallait pas faire d’amalgame entre l’immigration et l’insécurité« employé le Terme confrère».
Autre precision qui a son importance, selon lui : s’il avait parlé au nom de sa robe, il aurait été sanctionné pour «un manquement à la dignité ou à l’honneur». Un règlement que la bâtonnière lui aurait d’ailleurs rappelé pendant l’entretien. Cette dernière indique au Figaro what ” ce qui s’est dit dans le Bureau du bâtonnier reste confidential ».
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Damage on Twitter
« C’est au-delà de l’exceptionnel. S’il avait été plombier zingueur, il aurait écrit la même chose », s’emporte Maître Gilles-William Goldnadel, qui a médiatisé l’affaire. « Ça a été le couronnement total quand j’ai appris qu’un des avocats qui, sous le pseudo de gnagnagna l’a Traité en Gros de merde fasciste», pursued celui qui s’est immediately porté volontaire pour défendre son confrère.
Selon des captures d’écran aux a eu accès laughed Figaroa Twitter user shared the open letter with pour comment «quand ton propre barreau est envahi par la merde fasciste». Quelques jours plus tard, Me Dailly découvre que la bâtonnière a Aimé le tweet en question : « Si j’avais su ça, je ne serais pas Allé à l’entretien», react-il. « Mon compte Twitter n’est pas celui du barreau de Nantes. C’est ma Liberté d’expression en tant que Christine Julienne », it defends Me Julienne. «I like to hurt écrite par moi quel que soit le compte Twitter»ajoute-t-elle.
Kevin Dailly ne compte pas s’arréter là. «Nous allons puisseur en justice celui qui m’a injurié», indicate-t-il. « Au-delà du combat politique, er peux comprendre que cette Tribune ne plaise pas. Mais on me répond avec des injures et non des arguments », s’offusque-t-il en dénonçant une atteinte à la Liberté d’opinion.
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