Saturday, September 7, 2024
HomeLawyerUne avocate en congé de maternity, le jury refuse de remettre le...

Une avocate en congé de maternity, le jury refuse de remettre le procès

Expand

The Honorable Michel Pinsonnault. Photo: Archive

Le juge Michel Pinsonnault de la Cour supérieure du Québec has rejected the request for a postponement of the trial motivated by Me’s maternity leave Natasha Sivretavocate Chez DHC Avocats.

«Malgré les inconveniences que cela peut occasionner», Judge Pinsonnault has decided to maintain a trial in April 2024, quelques jours avant la fin du congé de ternité de l’avocate des défendeurs.

The Superior Court judge considered that the case has already been ongoing for six years, while the plaintiffs are trying to enforce a judgment in 2018.

On peut lire la décision du juge Pinsonnault ici.

We, Natasha Sivret, represent the defendants in a complaint in Levée de voile corporatif et en dommages-intérêts à la suite de travaux de rénovation qui ne se seritant pas bien déroulés.

In October 2018, les demandeurs, par Ilyayev, ont obtenu un jugement de 110,550.31 $ contre l’entrepreneur Rénovations Constructions Neuves IOS à Titre de compensation, «lequel n’a jamais été satisfait».

In October 2019, l’emission La Facture de Radio-Canada afait diffusun un reportage montant le désarroi des demandeurs, et par qui a versée une Avance à l’entrepreneur sans que les travaux prévés soient achevés. A few months ago, the Régie du bâtiment du Québec (RBQ) canceled the entrepreneurial license after numerous complaints.

We Natasha Sivret.  Source: DHC Advocates

Expand

We Natasha Sivret. Source: DHC Advocates

Les demandeurs ont demandé la Levée de voile corporatif et des dommages-intérêts afin que l’entrepreneur That would be it soit condamné personally à les indemniser, Puisque sa compagnie ne l’avait pas fait. The trial is scheduled to take place on April 9 or 12, 2024. Those dates are set for September 2022.

Or, l’avocate des défendeurs est en congé de maternité du 9 juillet 2023 au 20 April 2024. Me Natasha Sivret a également dû prendre des congés à compter du 16 juin 2023. Cette situation n’était les moments de proèc.

The defendants do not request a judge Michel Pinsonnault de la Cour supérieure de remittre le procès à une date étrailleurée… ce que le judge en refusé.

An action and defamation

According to the decision, the judge Michel Pinsonnault explains that one of the defendants intends an action en dommage pour defamation contre les demandeurs, devant la Cour du Québec. Cette causes sera entendue en September 2024. Cette action accuses the couple of consumers of defamation Durant le reportage de La Facture, et Leur réclame un total de 40,000 $ en dommages-intérêts et en dommages punitifs.

“Or, il n’y a aucune date disponible en Cour supérieure avant 2025, ce qui ferait en sorte que le procès en Cour du Québec procedureerait avant celui de la Cour supérieure,” wrote Judge Pinsonnault in his decision of June 1, 2021, published on June 1, 2021.

We Ali Sbai.  Source: USherbrooke

Expand

We Ali Sbai. Source: USherbrooke

De son côté, «bien qu’il soit sympathique à la situation de sa colleague», l’avocat des demandeurs, Me Ali Sbais’est oppos à la demande de remise du procès en sutenant que la cause doit être entendue avant le procès en slander devant la Cour du Québec.

Les motivations des défendeurs pour remettre le procès sont untente d’ordre procedural, confirms Me Ali Sbai, en entrevue. Celui-ci emphasizes that the question ne réside pas dans le respect du congé de ternité.

“I suggested that the case at the Cour du Québec be dismissed and the case before the Cour supérieure puisse elle aussi être remise,” explained the lawyer. J’aurais accepted la remise du procès en Cour supérieure si Me Sivret avait accepted la remise de la cause en defamation ».

Me Natasha Sivret a refusé la remise de la cause de la Cour du Québec, en affirmant «qu’il n’y a pas connexité entre les Deux recourses au point qu’ils doivent être réunis», précise le jugement.

La décision du judge Pinsonnault rejects this interpretation. « Une lecture des Deux procédures permet au Tribunal de constater que la decision à être rendue dans la presente instance peut avoir une incidence sur le sort de l’autre recourse en defamation en Cour du Québec. » Mais il ne juge pas nécessaire de reunir les Deux recourses.

Le juge Pinsonnault see dit «Sensible à une demande de remise fundée sur un congé de ternité», but also «Sensible au fait que les demandeurs tentent depuis 2018 d’executer le jugement qu’ils ont obtenu pour un montant important ($110,550.31) ».

« Procéduralement, les choses doivent avancer, martèle Me Sbai. Mes clients son des victims. »

The judge pursues a distinguant la situation presente, où le procès est fixe quelques jours avant la fin du congé de ternité, de Celle où le procès aurait été fixe au milieu d’un congé de ternité.

Et bien qu’il rappell l’importance du droit d’une partie à être représentée par l’avocat des choix, le juge Pinsonnault Tranche en décidant que «dans le contexte particulier Actuel et vu la position adoptede par l’avocate des défendeurs, le droit des entenches des défendeurs desmartèm puis 2017 doit primer. »

Me Sbai fait remarquer que l’avocate des défendeurs est arrivée recently dans un dossier qui date de six ans. En March 2022, l’entrepreneur était representée par Me Christina Chalimovade Barrette & Associés Avocats, alors que le couple de consommateurs réclamaient, sans succès, le rejet de la demande introductive d’instance de l’action en defamation.

Le litige Devra donc être tranché avant le procès en defamation devant la Cour du Québec de septembre 2024, decided le judge Pinsonnault, «malgré les inconveniences que cela peut occasionner», conclud-il.

Une fois le jugement rendu, Me Natasha Sivret a demande si elle pouvaite changer d’avis et accepter de remettre la cause devant la Cour du Québec, reporter Me Ali Sbai. But it was too late. « Cela aurait été différent si on avait pu discuter », assure l’avocat.

Contact Droit-inc, the cabinet DHC Avocats, which employs Me Sivret, n’a pas réponé.

Not the Court of Appeal

Judge Pinsonnault clarifies in his decision that “the court reserves the right for the defendants to make a new request for revocation at an appropriate time if new facts that are not justified”. Mais, ce n’est pas cette option que les defendantteurs ont choisi.

The defendants have decided to approach the Court of Appeal to appeal the judgment of the High Court. Ils apuient Leur argumentaire sur les principes directeurs de la procedure, l’article 34 de la Charte des droits et libertés de la personnea sour la Declaration of the principle of conciliation travail-vie personnel dans le cadre des instances judiciaires.

“Le jugement rendu place l’avocate au dossier dans une situation où elle doit choisir entre son congé de ternité ou la Representation des intérêts de ses clients”, Pointe la demande déposé devant la Cour d’appel le 28 juin. « Le jugement rendu fait fi des valeurs énoncés dans la Declaration en diminuant le droit des femmes dans le Domaine juridique à Leur congé de ternité. »

Par ailleurs, les défendeurs jugent “troublante” la Distinction faite par le judge Pinsonnault entre un procès mé au miljô d’un congé de ternité et un procès mé à quelques jours de la fin du congé.

The Court of Appeal will consider the request on 25 July.

RELATED ARTICLES

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here

- Advertisment -

Most Popular