Monté à Paris pour un internship dans un prestigious cabinet d’avocats, le Druellois Raymond Pouget a cofondé le cabinet PDGB, specializedisé dans le droit des affaires et reconnu depuis 37 ans, en France et à l’international
Quelquefois, une carrière tient à pas grand-chose. Raymond Pouget, qui a créé à Paris, med Trois associés, l’un des plus Gros cabinets d’avocats de France, aurait pu choisir une tout autre voie. “Après mon bac philo, je voulais aller vers le journalisme, raconte-t-il. J’avais écrit à un journaliste de Center Presse, à Rodez, pour qu’il me conseille. “Les Métiers du droit manquent de cerveaux”, m’a-t-il réponé. Et c’est comme ça que je suis Allé m’inscrire à la fac de droit, en 1966, à Montpellier, où habitait une cousine de mon père.”
Avant cela, le jeune Raymond, né en janvier 1948 à Rodez, grandit à Druelle où son Père est facteur. Issu d’une famille paysanne – entre Druelle et Moyrazès pour le Père et à Ceignac pour la mère – il n’a que Trois ans lorsqu’il déménage, avec sa famille, à Aubin à l’occasion de la mutation de son Père à Cransac. Après l’école privée à Aubin, il pursuit à Sainte-Marie à Rodez où il sera pensionnaire jusqu’au bac.
Etudes de droit in Montpellier
“C’était très réglé, se souvient-il. Lever à 7 heures, étude puis petit-déjeuner, classe, déjeuner puis Classe et repas du soir à 19 heures suivi de l’étude. On n’avait pas de télé, à l’époque. Et cap al lièch! (au lit). On était instalables dans des dortoirs de 50 à 60 lits. Il n’y faisait pas très chaud, l’hiver. Pour se laver, il y avait des rangees de robinet où l’eau était froide.”
Tout juste bachelor, Raymond Pouget quitte donc son Aveyron Natal pour suivre ses études de droit dans la Préfecture héraultais. Boursier, il est lodge à la Cité Universitaire des Arceaux, non loin du Quartier du Peyrou. Débrouillard et volontaire, l’étudiant, aux origines modestes, fait “pas mal de petits boulots, l’été. Je faisais les vendanges dans l’Aude et dans le Lot. J’ai été multimétreur dans une Cave cooperative. Je relevais la densità de sucre”, explique-t-il. “Ce qui me vaut de recevoir, tous les mois, 92 centimes de retraite de la MSA”, sourit-il. Il est aussi un temps serveur dans un restaurant dans les Pyrénées avant de revenir en Aveyron où il décroche un job de pion, pending Deux années, successively at the Lycée Monteil then at the Lycée Foch. “Je passais Trois jours à Montpellier et Trois jours à Rodez. Je faisais les allers-retours en 4L.” Qu’il pleuve ou qu’il vente, et même sous la neige. Et à l’époque, pas de Viaduc de Millau. Il fallait descendre pour traverser la ville et entamer la montée. A 4L, a true adventure!
The student obtained his private law license in 1970 and his diploma as jurist spécialisé au conseil en entreprise (DJCE) in 1971. par l’un des directeurs du célèbre cabinet Parisien Francis Lefebvre, dont sures membres donnaient des Cours à la fac de Montpellier. Ce dernier lui suggests alors de faire un scene à Paris. “J’ai un peu hésité Parce que j’avais l’idée de rester en Aveyron. Mais à moins d’être issu d’une famille de juristes ou d’avoir des relations, constate le jeune homme, il était difficile à l “Epoque de s’installer en Aveyron. Je me destinais rather à une carrière d’expert-accountable, pour rester au pays.”
Recruté à 24 ans par le cabinet Francis Lefebvre
But Raymond Pouget finally decided to accept the proposal of cabinet d’avocats Francis Lefebvre et de monter à la capitale, logé dans un premier temps Chez un frère de son père, Inspector des impôts.
A l’issue de ce stage, le 2 janvier 1972, il resignationne de l’Éducation nationale – il était toujours surveillant à Rodez. Le 3 janvier, il fête son anniversaire et le 4 janvier, il est embauché Chez Francis Lefebvre à Paris. Il a alors à Peine 24 ans. Une premiere expérience, très formatrice, qui va durer 14 ans.
The year 1985 marked a turning point in the Aveyron lawyer’s career. Afec Trois associés de Chez Francis Lefebvre, il cree le cabinet PDGB, pour Pouget (Raymond), Delfaud (Roland), Garnier (Alain) and Bachasson (Gérald).
Cabinet PDGB, depuis 37 ans
“When it started, il ya 37 ans, se souvient Raymond Pouget, on venai nous voir pour des conseils sur la fiscalité et de rachat des entreprises, les investissements, la transmission de patrimoine.” He explains: “When someone sells his company, he wants to know what he will pay as taxes, how he will be able to optimize, reinvest, transmit to his children. C’est une vraie relation de proximité nou et de confiance ques creons avec nos clients.”
Aujourd’hui installed in a building of 2000 m2 on the prestigious avenue Victor-Hugo de Paris, cabinet d’avocats d’affaires pluridisciplinaire PDGB, present in France and internationally, multiplies these distinctions. There are currently 20 associates and 80 people employed.
“Des cabinets qui extant depuis plus de 30 ans, il n’y en a pas beaucoup, emphasizes M. Pouget qui reconnoitre exercer “un métier passionate et difficile, souvent dans l’urgence” mais il faut toujours “favoriser le facteur humain” .
Aveyronnais d’origine et de cœur, , l’avocat ne renie pas ses “racines paysannes” qui lui ont donné “le sens et la permanence du travail.”
L’Aveyron où il aime retrouver ses Deux frères et se balader à Rodez, especially au Marché hebdomadaire du samedi, sur la place du Bourg.
