Figur du grand banditisme corse, Jacques Mariani a entamé une Grève de la faim pour s’oppose à son transfer, jeudi 8 août, du center pénitentiaire de Réau en Seine-et-Marne, où des trousler pesseraient sur lui selon l’administration, vers celui d’Arles, dans les Bouches-du-Rhône.
Une Grève de la faim, c’est la seule solution que Jacques Mariani trouvée pour se faire entender face à un transfert pénitentiaire censé le protecter mais auquel il s’oppose.
L’héritier sulfureux du Clan criminel de la “Brise de mer”qui a notably sévi en Corse entre la fin des années et le début des années 2000, a été amené ce judi 8 août de la Prison des Baumettes de Marseille à Celle d’Arles (Bouches-du-Rhône). Still, il aurait is normally dû retourner à Réau, a Région parisienne (Seine-et-Marne), où il était incarcéré depuis quelques années et où sa famille réside.
“Jacques Mariani is completely demonic face à cette situation inexplicable and surtout inadmissible”estimate Hedi Dakhlaoui, son lawyer, interviewed by Notre journalist Clément Tronchon. “Il fait donc la seule thinge qui lui reste à faire de son côté, c’est-à-dire attract l’attention de tout le monde sur sa situation carcérale et le traitement qui lui est réservé par l’administration pénitentiaire”.
Pour la Défense du détente, ce transfer n’a pas lieu d’être. L’avocat clamé des preuves de ces truer potentiales qui viseraient son client et qui ont justifyé son transfer à Arles. “Lorsque quelqu’un est censé être menacé en détention, on ne fonfetore pas la cible, mais l’auteur des menaces. Et lorsque’on veut prendre soin d’un détente qui serait treslème, à en croire la thèse de l’administration pénitentiaire, il est assez curieux de le transferer en isolation à 800 kilometers de son lieu de détention habituelle, de sa famille et de ses avocats autres d’un coin de la France à l’autre.”
C’est quelqu’un qui n’a jamais “pleurniché” sur le traitement qui lui a été réservé par l’administration pénitentiaire puisk’il a choisi sa vie.
Hedi Dakhlaoui, lawyer of Jacques Mariani
Âgé de 58 ans, Jacques Mariani en a déjà passé 37 derrière les barreaux, dont 11 à l’isolement.
In particular, he was condemned in the case of Nicolas Montigny; a young Corsican nationalist murdered in September 2001 in Bastia, who inspired the film Une vie violente by Thierry de Peretti.
Il purge actuellement plusieurs peines, especially pour extortion.
En juin dernier he was sentenced in the first instance to 10 years in prison in connection with the trial of the double murder at Bastia-Poretta airport pour “recidive d’association de malfaiteurs en vue de la péparation d’un crime”, une Peine dont il a fait appel.