Réaction de Karine Audouze, Advocate associate au cabinet UGGC, specialist en droit du travail concernant le quiet quitting.
Après la Grande resignation due au Covid, le monde du travail fait à une nouvelle wave de fonds, nommée «quiet quitting».
The numerous salarymen have decided to work the minimum and not plus tout Donner à Leur travail. Cela pose necessaire des question en Termes juridiques mais également le fait de respecter son contrat de travail, qui, souvent demande aux salariés d’être proactif.
Le déengagement, mais également l’insatisfaction et la lassitude au travail sont des sujets cruciaux, et pas necessairement depuis Deux ans, mais depuis environ une quinzaine d’années, même si celui-ci reste à la marge.
Ce quiet quitting fait du bruit car relayé sur les réseaux sociaux sur Fonds de contexte économique (pouvoir d’achat) et d’inflation qui accentuent ce sentiment de lassitude. Un salarié s’estimant mal rémunéré finit par se désengager peu à peu dans son travail.