Le Parquet général has reaffirmed Mardi en ouverture de ses réquisitions la culpabilité de Nicolas Sarkozy, rejugé à Paris pour corruption and trafic d’influence dans l’affaire des “écoutes” avec his avocat historique et un ancien haut magistrate.
L’avocate générale Muriel Fusina declared d’emblee en début d’après-midi that the Ministère public was convinced of the guilt of the three men in this affair “hors norm”.
Ce dossier, qui a valu à Nicolas Sarkozy une condamnation historique à un an de Prison Ferme en premiere instance, est foundée sur des écoutes de ses conversations début 2014 avec son avocat et ami, Thierry Herzog, sur une ligne “dédiée l ouverte” ‘ alias “Paul Bismuth”.
“Vingt talks” que la Défense a cherché à “complexifier” mais qui sont “limpides”, selon l’avocat général Yves Micolet, pour qui “le but des intéressés est tout a fait clair”.
“Gilbert Azibert est solicitité pour obtenir des informations and demarcher des conseillers à la Cour de cassation. A counterparty accepts Nicolas Sarkozy de l’aider à obtenir un Poste à Monaco”, on-il summary, estimated qu’un “pacte de corruption” avait donc bien été conclu
A cette époque, l’ancien président, qui avait obten un non-lieu dans l’affaire Bettencourt, cherchait à faire annul la saisie de ses agendas présidentiels – afin, a précis Mme Fusina, qu’ils ne soient pas versées dans d’ autres procedures comme l’affaire des soupçons de financemente libyen, l’affaire Tapie or l’affaire Karachi.
“La plupart du temps, ces conversar ne sont pas mondaines mais extremely précis et efficaces”, pursued M. Micolet. “Dans un sure nombre, il ya des précautions oratoires very fouillées qui montrent que les protagonistes avaient probabilite le sentiment qu’ils étaiten totalement hors la loi”.
L’avocat général a soirrein les “zones d’ombres” qui subsistent et n’a pas “exclu qu’on ait pu être dans une sorte de jeu de poker menteur, où chacun va embellir ce qu’il va promettre out tenter d ‘obtain’.
Mais “peu importe” que Gilbert Azibert n’ait finally pas obtenu de Poste sur le “Rocher” et que la Cour de cassation ait in fine donné tort à Nicolas Sarkozy, ont balayé les représentants de l’accusation: selon la loi, il n’est “pas nécessaire” que “la contrepartie” ait été fournie pour que la corruption soit charactere.
– Un an Ferme a premiere instance –
Le réquisitoire se poursuivait Mardi en fin d’après-midi.
Lors du premier procès, il ya Deux ans, le Parquet national financier (PNF) afait requis Quatre ans d’emprisonnement, dont Deux ferme, à l’encontre des Trois hommes, avec une interdiction professionnelle de cinq ans pour Me Herzog.
On March 1, 2021, Le Tribunal correctionnel avait choisi une Peine plus légère: Trois ans de Prison dont un an ferme, avec l’interdiction requisée pour l’avocat. This decision nevertheless made Nicolas Sarkozy sentenced to prison terms for the former Prime Minister of the Fifth Republic.
Depuis le début du procès en appel le 5 December, the ex-chef de l’Etat de 67 ans se démène à la barre pour clamer son Innocence “avec la plus grande force”, laver son “honneur” and contester avoir jamais corrup “qui que ce soit”.
Les écoutes sur la ligne “Bismuth” ont été difusées le 6 décembre pour la premiere fois dans une salle d’audience.
Des interception confirmed public prosecutor Muriel Fusina la “legalité”, répondant ainsi à une kritik majeure de la défense, qui les juge illicites en raison du secret protegeant les conversations entre un avocat and son client.
The General Counsel defended the investigation of the PNF at great length – prepared by the Defense – which seemed to identify a potential “taupe” ayant informant Thierry Herzog and Nicolas Sarkozy que la ligne “Bismuth” était sur écoute.
Parlant d’un “étendard destiné à masquer” les faits, she affirmed qu’il s’agitait d’une “enquête diligentée dans le plus strict respect des dispositions légales en vigueur”.
Cette enquête a finalement été Classée sans suite six ans après son ouverture.
Dans cette affaire dite des “fadettes”, l’ex-cheffe du PNF Eliane Houlette and son Actuel numéro 2 Patrice Amar ont été blanchis en octobre de pursuits disciplinaryaires, dont le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti est indirectement à l’origine et qui lui Valent d’être renvoyé en procès.
.