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Affaire chlordécone: l’avocat des parties civiles conteste la prescription des faits

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Affaire chlordécone: l’avocat des parties civiles conteste la prescription des faits

Dans l’affaire du chlordécone, ce Pesticide hautement toxique utilisate jusqu’en 1993 par les planteurs de bananes aux Antilles la contre-attaque s’organise. Less than a month after the Public Prosecutor’s Office in Paris issued on November 24th a final réquisitoire opinion that the facts were prescribed and that the legal qualifications for taxation could not be preserved – opening the way for a non-lieu – les parties civiles ont riposte par voie d’avocat.

Maître Ursulet a effet adresset un courrier au Tribunal judiciaire de Paris, le 20 décembre, dans lequel il s’attack à la chronologie de l’affaire: alors que la justice estime que les faits s’achèvent en 1993, année lors de laquelle l’usage de la chlordecone est officiellement interdit, Me Ursulet rappelle que la molecule a été été utilisateur illégamente au moins jusqu’en 2005, en atestent des relevés de la Douane sur des lots de bananes importées depuis les Antilles. Or, precisely l’avocat dans son courrier: « Lorsque l’infraction est dissimulée, la jurisprudence rappelle que la prescription ne court qu’à compter du jour où l’infraction est apparue et a pu être constatie dans des des des conditions allowing la mise a movement of public action. »

The lawyer also condemns a lack of judicial independence, which qualifies the prosecutor’s position as « à contre-courant de son rôle qui est celui de defendre les intérêts de la Société ». Un argument soutenu et repris par les militants anti-chlordecone: «Depuis le début de cette affaire, nous sommes face à un Etat à la both juge et partie», reproach especially Pierre-Charles Philippe, whose association est à l’origine de l’une des Premières plaintes, en 2006. La décision de justice devrait être rendue dans les mois à venir.

Rappelons qu’en 2006, plusieurs associations martiniquaises et guadeloupéennes avaient déposé une plainte contre l’État français pour empoisonnement, mise en danger de la vie d’autrui et administration de substance nuisible. Chlordecone was banned in the Metropole in 1990, but it continued to be used three and more times in the Antillean plantations, causing numerous health problems and especially prostate cancer. With 227 cases per 100,000 inhabitants, Martinique actually has the world record for this type of cancer. These cancers are recognized as an occupational disease.

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