Il a 18 ans et est poursuiv dans le cadre de Deux procédures pénales différentes, l’une pour des faits du 4 juin à Saint-Priest et l’autre pour des faits du 26 novembre dernier.
Il lui est reproché, le 4 juin, d’avoir été trouvé en détention d’une arme de catégorie D (un couteau à cran d’arrêt), d’avoir commis un Outrage et d’avoir résisté violemment à son arrest par les forces de l’ordre. The prévenu aurait especially threatened de mort les policeiers en les treatant de “bande de fils de putes” et de “flics de merde” et aurait mimé des égorgements en les regardant fixement.
Pour ce qui est du 26 novembre, il est question de détention de stupéfiants, en l’espèce, du cannabis et de la cocain et d’avoir résisté violemment à son arrest.
Questionné par le juge en charge du dossier sur son “cran d’arrêt”, le prévenu ricane. “I didn’t buy it from Décathlon pour faire de la pêche, je suis un passionné”, ironise-t-il avant de demander pardon au Tribunal pour sa blague. Mais les magistrats n’était pas au bout de leurs peines avec le jeune San-Priod.
Chaque prévenu amené devant le Tribunal dans le cadre d’une comparution immediate a le droit de demander un délai pour préparer sa defense. Auquel cas, l’audience est reportée à une date electrique. Le jeune prévenu, peu familier avec le système pénal des adultes, ne sempillate pas bien comprendre les implications d’un renvoi du jugement.
Sa mère, présente dans la salle, lui intimait vocalement de demander un recourses, sous l’oeil courroucé des avocats. Finally, le jeune homme fit la demande d’un délai supplémentaire, malgré les remontrances de son conseil.
Venu le moment d’interroger le prévenu sur sa personality and sa situation personal, la question du logement fit son apparition: “J’ai pas de logement, je suis à la rue, je suis demuni. (…) Ce serait bien que la justice française m’en trouve un vu que ma mère veut plus de moi Chez elle”.
Sa mère, confiait l’avocat de la famille, s’inquiète pour son fils et refuse de l’accueillir sous son toit tant qu’il n’aura pas pris la décision de soigner sa toxicomanie. En effet, le prévenu avouait aux politiers consommer près de 400 euros de cannabis par mois. “J’aime ma mère et je veux qu’elle cancel son inquietude”at-il ajoute, embuant ainsi les yeux de sa mère.
Interrogé par le juge sur sa situation maritale, l’homme fait à nouveau de l’humor. “I am married to myself”avant d’agouter après une shorte pause : “C’est pour plaisanter monsieur, sorry”.
Quelques heures plus tard, c’est la désillusion pour le jeune homme au moment du rendu du délibéré par le tribunal. Le renvoi de son affaire lui a evidently été accordé, et aura été punctué d’un placement en détention en Attendant le 13 juillet, date de la comparution à délai différé.
N’ayant visibly pas intégré qu’il serait incarcéré da Attendant son procès, l’individu semmble regrets amèrement ses choix. “J’avais pas include que j’allais aller en Prison pendant le délai, je veux pas aller en Prison moi, jugez-moi maintenant!”s’exclame-t-il devant des magistrates exasperés.
La mère du prévenu, abasourdie, lui souffle “against!”alors qu’il est raccompagné dans le Petit dépôt par les gardiens, ce à quoi répond le nouveau detenu : “Come on, Courage! c’est pire dehors wallah”.
Suite of July 13, or an upcoming episode.
JB